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    Depuis l'annonce des négociations hors tribunaux, la hache de guerre semblait enterrée pour de bon. Et bien non, les hostilités reprennent de plus belle avec le dépôt d'une nouvelle plainte de la presse belge contre le géant californien.

    Les hostilités ne datent pas d'hier et remontent au mois d'avril de l'année 2006. À l'époque,

    Copiepresse

    , une société qui gère les droits d'auteur de la presse belge, francophone et germanophone, avait déposé une

    plainte contre Google

    au sujet de Google Actualités, son service qui indexe les articles issus de la presse en ligne locale. Google Actualités aurait indexé les articles des journaux belges sans leur autorisation préalable, en publiant leur titre et leur accroche. De plus, il aurait mis en cache les articles, ce qui rendait ces derniers encore accessibles alors même qu'ils ne l'étaient plus sur le site d'origine.



    Après une longue bataille juridique - première condamnation

    en septembre 2006

    et confirmation

    en février 2007

    -, les deux parties avaient finalement décidé,

    en mai 2007

    , de poursuivre les négociations hors des tribunaux, espérant bien trouver un accord à l'amiable. L'histoire semblait ainsi touchait à sa fin. Force est de constater que non.



    Ce mercredi, Margaret Boridon, secrétaire générale de Copiepresse, a fait savoir que les négociations qui avaient été engagées en vue de parvenir à un accord ont finalement échoué. La semaine dernière, une plainte a ainsi été déposée contre Google qui se voit maintenant réclamer

    entre 32,8 et 49,2 millions d'euros de dommages-intérêts

    . Si Google conteste encore les accusations à son encontre, Copiepresse s'est dit prêt à réclamer les historiques de connexion, afin de voir le nombre de visiteurs ayant eu accès aux articles et justifier le montant des dommages-intérêts réclamés.



    L'audience est programmée pour le 18 septembre prochain, le temps pour les deux parties d'affuter leurs armes, ou peut-être finir par trouver un terrain d'entente...


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  • YouTube - Logo

     

    C’est presque ce que suggère Google dans sa rixe judiciaire l’opposant à Viacom en se faisant le défenseur de l’échange d’informations qui contribue au succès du Web.

    On l’avait presque oublié mais le groupe de médias Viacom est engagé aux Etat-Unis dans une procédure judiciaire à l’encontre de YouTube dont le propriétaire n’est autre que Google. Une affaire à 1 milliard de dollars puisque c’est le montant des dommages et intérêts que réclame Viacom à Google pour avoir diffusé illégalement sur YouTube plus de 150 000 vidéos soumises à des droits d’auteur, parmi lesquelles des épisodes de la série animée South Park par exemple. En raison de cette affaire, Viacom à qui appartient MTV Networks, a refusé de signer avec YouTube un accord de partenariat comme ont pu le faire NBC Universal, CBS et d’autres.

    Après une plainte déposée en mars 2007, Viacom en a déposé une nouvelle version le mois dernier accusant YouTube de toujours autoriser la mise en ligne de copies illicites de programmes TV et de films qui sont consultées des dizaines de milliers de fois, et arguant que Google et YouTube n’avaient presque rien fait pour empêcher une telle diffusion. Pour Viacom, cette tolérance serait même le fond de commerce de YouTube.


    La réponse de Google
    Ces allégations n’ont que très moyennement plu à Google qui par l’intermédiaire de ses avocats, a fait parvenir un document à la Cour de district de Manhattan dans lequel il est indiqué que YouTube va bien au-delà de ce que lui impose la loi afin d’aider les ayants droits qui souhaitent protéger leurs œuvres. YouTube a par exemple implémenté une technologie de filtrage vidéo qui permet de détecter immédiatement la majorité des clips protégés par des droits d’auteur. De par son acharnement et la mise en cause de YouTube, pour Google, " Viacom menace la manière dont des centaines de millions de personnes échangent légitimement de l’information et s’expriment. "

     


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  • Google News (Small)

    Depuis l'annonce des négociations hors tribunaux, la hache de guerre semblait enterrée pour de bon. Et bien non, les hostilités reprennent de plus belle avec le dépôt d'une nouvelle plainte de la presse belge contre le géant californien.

    Les hostilités ne datent pas d'hier et remontent au mois d'avril de l'année 2006. À l'époque,

    Copiepresse

    , une société qui gère les droits d'auteur de la presse belge, francophone et germanophone, avait déposé une

    plainte contre Google

    au sujet de Google Actualités, son service qui indexe les articles issus de la presse en ligne locale. Google Actualités aurait indexé les articles des journaux belges sans leur autorisation préalable, en publiant leur titre et leur accroche. De plus, il aurait mis en cache les articles, ce qui rendait ces derniers encore accessibles alors même qu'ils ne l'étaient plus sur le site d'origine.



    Après une longue bataille juridique - première condamnation

    en septembre 2006

    et confirmation

    en février 2007

    -, les deux parties avaient finalement décidé,

    en mai 2007

    , de poursuivre les négociations hors des tribunaux, espérant bien trouver un accord à l'amiable. L'histoire semblait ainsi touchait à sa fin. Force est de constater que non.



    Ce mercredi, Margaret Boridon, secrétaire générale de Copiepresse, a fait savoir que les négociations qui avaient été engagées en vue de parvenir à un accord ont finalement échoué. La semaine dernière, une plainte a ainsi été déposée contre Google qui se voit maintenant réclamer

    entre 32,8 et 49,2 millions d'euros de dommages-intérêts

    . Si Google conteste encore les accusations à son encontre, Copiepresse s'est dit prêt à réclamer les historiques de connexion, afin de voir le nombre de visiteurs ayant eu accès aux articles et justifier le montant des dommages-intérêts réclamés.



    L'audience est programmée pour le 18 septembre prochain, le temps pour les deux parties d'affuter leurs armes, ou peut-être finir par trouver un terrain d'entente...


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